Parfois lorsque je suis lasse de vivre,
Je me retrouve sur le Cap tourmente,
Fatiguée, essoufflée et sans les vivres,
Dans la caverne, loin de ceux qui mentent!
Parfois,lorsque tu viens troubler ma paix,
Je me réfugie dans cette campagne,
Les moutons broutent l'herbe, je les pais,
Mon chagrin s'enfonce au pays d'Aubagne!
Ô miracle! loin du bruit de la ville.
Du pas des passants etu vaudeville,
Une onde d'amour envahit mon âme!
Au faîte de la montagne grise,
J'entends l'écho des mots que je déclame,
Je reviens à la vie, je suis éprise!
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