■Sur un très grand bateau, vite elle s'embarqua
■Était partie sans voir les larmes de sa mère.
■Dans sa bouche fermée,une tristesse amère,
■Elle gelait déjà sous ce trop grand parka.
■Jolie Magdeleine qui fuyait le tracas,
■Qui laissait ses parents manger de la misère.
■Jamais plus de Paris reverrait la lumière,
■Dans ses mains, la poupée chiffon Marie-Emma.
■Ses joues rondes et rosées faisaient de cette enfant,
■D'à quatorze ans son charme en résultant,
■Et pourtant elle avait survécu la famine...
■Ses chevilles fines,ses cheveux noir de jais,
■Des yeux verts de jade,lui donnaient bonne mine.
■Que l'embarras du choix lorsqu'elle épouserait...
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