Matin de septembre,je suis seule et je pense...
Dans ce métro bondé, à la belle insouciance
Qu'ont les petits qui jouent à l'orée de l'enfance.
Matin de septembre, je suis seule et je pense...
Les parterres humides,les gens qui se bousculent...
Les yeux sur les journaux, cet autre gesticule,
La dame avec son doigt recompte son pécule,
Les parterres humides, les gens qui se bousculent...
Matin de septembre, je suis seule et je pense..
Pourrions-nous retourner à ce temps de l'enfance,
Où nous étions heureux sans besoin de bagages?
Revenir dans l'hier,dans un autre hémisphère,
S'embarquer tous les deux pour un très long voyage,
Faire fi des soucis,loin de toutes ces querres!
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