Quand on ne voit que la mort au bout du chemin
Découragée,en pleurs et l'âme trop meurtrie
Quand on se réveille et que dès le matin
On a la bouche cousue,jamais on ne rit.
Quand aux jours de notre jeunesse frivole,
On ne se souciait guère du chemin étroit,
Ces mots désuets n'étaient que paraboles.
À nos oreilles, seul le rock and roll était roi!
Bientôt sous la terre enterrés, tous les regrets
Souvenez-vous; ne le gardez point secret,
Sur mon épitaphe: celle qui a aimé!
Que de rêves vains, que de pensées futiles
Dans cette galère, ce monde hostile
Doucement, sans bruit je m'en serai allée!
à retravailler!
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