À bas les barrières de l'incompréhension
Sur un poteau de bois, il était bien écrit
Que jamais plus ici...que le mal soit proscrit...
Aux branches du genêt, se meurt l'appréhension,
S'armer de patience par la méditation...
Jour après jour le vin se transforme en esprit,
Si nous étions devins, nous n'aurions rien appris,
Nous n'aurions pas fait fi de notre trangression,
Ne plus avoir la peur, crier son opinion
Sur les toits de la vie, sans être malapris
Percer le mur épais, on nous l'avait proscrit
Comprendre enfin les maux, la paix de la nation
Dans la tolérance, repose esprit contrit
Prie dans ton silence,qu'on entende ton cri!
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